Nom & Prénom : Yu Kanda.
Date de naissance : 11/03/1993.
Nationalité : Japonais.
Activité : Etudiant.
Classe : Septième année.
Race : l'innocence.

Si on te croisait dans la rue, rien ne laisserait penser que tu es "différent". Peut-être même qu'on ne te remarquerait même pas. Faut dire que tu es tout de même ce qu'il y a de plus banal comme Japonais.. tes cheveux corbeaux, lisses, un peu trop longs peut-être, tombent sur tes yeux bridés. ton regard et froid de couleur noire, perçantes, le teint pâle et pourtant bien dessiné. L'unique chose qui t'empêcherait de te fondre totalement dans la masse serait ta taille. 1m80. Trop grand pour un asiatique pure souche. On comprend donc mieux quand tu précises que ton père est américain. Enfin, "c'est ce que ta mère t'a dit". Ton visage est creusé, pas squelettique, disons.. saillant tous comme ton corps muscler finement. Tu parais peu adroit avec ton corps, et il te manquerait deux ou trois kilos pour rentrer dans la moyenne. Tu portes toujours -ou presque- des vêtements sombres, des jeans droits, des sweats noirs. La seule touche de couleur que tu t'accordes encore est le rouge. Ou le violet, peut-être. Ton corps et marqué de tatouages de couleurs noirs ta poitrine pré de ton coeur qui ne bas plus depuis bien lonten ... Pas étonnant que dès ton entrée au collège, tes petits camarades aient lancé une rumeur concernant ton appartenance à une secte de gothiques qui se nourriraient exclusivement de poussins albinos.

Comment dire.. T'es flippant parfois. Enfin tu l'es devenu, avec l'adolescence, la méchanceté de ces gosses pré-pubères et l'absence de ton père. Il ne t'a pas fallut longtemps pour te rendre compte que tu ne t'intéressait pas aux mêmes choses que tes camarades. Comme si tu ne te sentais jamais à ta place dans se monde, tu en as profité pour t'isoler rôle dans lequel finalement, tu te complaisait assez bien. Convaincu que t'avais besoin de personne, tu es insensible au reste du monde et tu t'es créé une carapace, un joli mur entre toi et Eux. Heureusement qu'il te reste encore ton meilleur ami et la seule femme qui hausse te toucher tu les à perdu dans des condition aussi triste que la vies que tu t'imagines depuis ce jour la tu à changer et tu le sais la noirceur rempli tont coeur tout entier plus question pour toi de faire confiance ou même de sourire ou même d'aimer, l'humour. Enfin, l'humour.. Disons plutôt l'impulsivité et la violence pour ne pas répondre a ceux qui te côtoie la froideur de ton regard que tu pose sûre les gant qui te croise cela veux tout dire un regard aussi noir pas ettenend qu'en te fuit. Difficile de savoir ce qu'il se passe dans ta tête en tous cas. Quand on t'approche, on se heurte. Tu as construit ton univers à l'abri des autres et de leur connerie. Les gens qui te touchent sont rares.. Voire inexistantes. Tu n'as aucune affinité avec les adolescents -y compris les adolescentEs- de ton âge qui ont abandonné depuis longtemps l'idée de te connaitre même si ton apparence fait tous pour qu`en se rapproche de toi. Mais malgré tout tu peu également aitre protecteur envers les gens dont tu est proche si cela t'arrive un jour. Tu est incapable d'avouer le moindre de tes sentiment pour quelqu'un.

« Kanda, chéri.. Tu devrais te reposer un peu. » Ta tante se tenait là penchée sur ton lit, un sourire triste sur le visage, le genre de sourire de compassion qu'on essaie d'arborer au mieux devant quelqu'un qui perd la boule. Histoire de dire 'C'est rien.. C'est pas ta faute'. D'un geste violent, tu envoya valser des objet qui s'éparpillèrent dans la pièce. La mâchoire serrée, pour la première fois depuis longtemps tu sentais les larmes monter jusqu'à tes yeux. Tu les refoule aux mieux avant d'enfouir ton visage entre tes mains tremblantes. Cette accident cette explosion et la tu te dit est si il ne t'avais pas sorti de ces décombres ne t'avais pas sauver la vie tu serai tout simplement mort, mais à quoi bon vivre tu porte les marques de se foutu accident ton regard nais plus le même qu’avent aujourd'hui tu et aveugle tes yeux sont plonger dans le noire et le vide tu porte des marque a ton visage qui ne s'effacera plus, voilà pourquoi tu et dans se lit d'hôpital. Et dans se lit d'hôpital tout défile l'accident le passer. ta mère, ta mère était tombée enceinte de toi très tôt, et t'avait élevé au mieux dans un petit appartement dans la banlieue . Chaque fois que tu lui demandait, elle te décrivait ton père comme un américain, grand et très beau, qui avait autre chose à faire que de s'occuper d'un gosse à 19 ans. Même si au début ça te faisait mal, petit à petit ce fut pour ta mère que tu eus le plus de peine. Cet homme, en plus d'avoir gâché sa vie en lui donnant un enfant, avait aussi fait d'elle une femme aigrie et méfiante qui n'avait plus été capable de garder un homme plus de quelques mois. Tu et la tu la voit perdre le contrôle de sa vies au début sa à étai dur de la perdre elle aussi tout comme ton meilleur ami et ta fillencer malgré tout tu survie et tu continue d' avancer mais malgré tout tu te dit à quoi bon continuer tout à quoi tu tenais à disparu dans le noir depuis cette accident. Et la tu ressort de cette hôpital ou tu a passer plusieurs mois et la tu et démoli affaiblie tes yeux toujours plonger dans le noire et le vide ta tante qui était venu te chercher un sourire triste sur le visage au porte de cette hôpital pour te ramenée chez elle juste pour un certain temps tu n'a plus quelle cette vieille femme qui ne pouvez te supporter et jusque à aujourd'hui n'a jamais rien fait pour toi, tu monte dans la voiture et tu t'assoit tu entent la voiture démarre les paysages défilé pare la fenêtre ouverte, le vent qui souffle sûre ton visage et tes long cheveux qui s'envole sûre ton visage a l'alur de la voiture qui roule pendent quelque temps, et la elle s'arrête tu entent une porte qui s'ouvre et tu sen une main qui se tend vers toi pour te sortir de la, mais tu la rejette, tu sorte de cette voiture avec difficulté tu entent la porte qui se referme derrière toi et la tu s'en un bras qui te prend et te serre pour t'aider à avancer des gros yeux se fond voir sûre ton visage mais tu te laisse faire et la tu avance se bras qui te prend et te serre se bruit de chaussure sur le gravier qui avance tu s'en les gravier devenir dure et plat tu sen désormais de marche sous tes pieds tu les montes un halte de quelque seconde et un bruit de vieux boit de porte qui s'ouvre et la tu y rentre dans se vieux château un vieux parquet qui grince sous tes pieds et se bras qui te prend et te serre et la tu s'en qu'il te lâche et s'éloigne et la une voix se fait entendre une présence que tu ne connais pas se fait ressentir « Bonjours mesieur Kanda ces moi qui vous guidera jusque à votre chambre et qui s'occupera de vous je me nom shara » tu s'en une main qui se tend vers toi une main chaleureuse et douce que tu prend dans la tien tu la suit dans de grand escalier que tu a peine à monter tes pied s'encouble à chaque pas que tu fait et tu s'en cette main qui te retiens pour finir pare te prendre pare le bras, tu arrive enfin péniblement en haut de ces marches qui te porte jusque à ta chambre, et la tu s'en une porte s'ouvrir « voilà mesieur Kanda nous somme arrivées à votre chambre, avez vous encore besoin de moi ! » et la tu te dit quoi lui dire tu ne le sais pas tu et aveugle comment te déplacer sons tes yeux comment voir ou tu va s'en aux et comme un con tu lui répond que tout va bien et que tu n'a pas besoin d'elle « alors je vous laisse mesieur Kanda si vous avez besoin de quelque chose il suffira de m'appeller, je viendrez vous cherche pour le dîner » et la tu entent la porte qui se ferme derrière toi tu esseille de te diriger en t'attends de tes main dans cette chambre ou tu te cogne dans les meubles pour finir pré de ton lit ou tu t'y assois et te couche tes yeux dans le vide tes bras coucher le long de ton corps tes longs cheveux ébène éparpiller le long de ton corps tu reste quelque tempe a fixer le plafond et tu t'endors très vite, tu n'a pas entendu shara qui n'a pas voulu te reveiler et qui ta couver avec une couverture pour pas que tu prend froid, et la tout a coup dans le silence de la nuit tu te mais a bougé dans ton lit tu te redressais en ourlent et en haletant sur ton lit, trempé de sueur tes longs cheveux ébène tombant le long de ton dos. Tout semblait calme autour de toi, un rayon de lune filtrait à travers les rideaux. Les yeux écarquillés et tremblent tu sentais tes mains qui tremblaient. Une angoisse sourde tordait ton ventre. Tu avais encore fait ce cauchemar, tu avais revu cette scène une fois de plus. redressais sur ton lit ces images continuaient d’hanter ton esprit et la tu entent des bruit de pas qui coure jusque qu'à ta chambre et la,la porte s'ouvre très vite « mesieur Kanda que vous arrive t'il » tu entent sa voix mais tu ne répond pas tu ni arrive pas tu et paralyser tu et focaliser sûre tes mains qui tremble de plus en plus, tes yeux écarquillés et tremblent, et la tu s'en une main sûre la tien « Calmer vous mesieur Kanda tout va bien, rendormes vous mesieur Kanda je reste avec vous » et la tu te recouche tu s'en la couverture remonter sur ton corps tu te rend d'ores péniblement mais tu ne sais pas pourquoi mais sa présence te calme et t'apaise, tu te réveil au petit matin tu t'habile tu porte ta main sur la poigne tu ouvre cette porte pour te retrouver dans les escaliers que tu décent pour te retrouver dans un grand couloir « Bonjour mesieur Kanda comment allez vous » « Bien » tu s'en sa main qui prend la teigne et qui t'en mène dans une grand salle au ta tante t'y attends « Merci shara laisser nous » « Bien madame » et la tu t'assoit sont un mot « J'ai trouver un nouveaux foyer pour toi du nom de rainbow academy tu partira des cette après-midi » et la tu reste en silence tu ne dit pas un mot mais tu s'en bien sont regard poser sur toi sont regard de dégoût quelle a toujours ou pour toi comme si rien n'avait changer, et la tu te lève et tu t'en va jusque à ta chambre pour ramasser le peu d'affaire que tu a quelque habit et un katana tu entrent frapper à ta porte « Oui » tu entent la porte s'ouvrir et le parquer qui craque sous des pas « Ces moi mesieur kanda je vient vous cherche votre tente vous attends » et la tu lâche un soupire tu prend ton sac et tu la suit tu sorte du grand château tu rentre dans la voiture qui t'en maine jusque à ta nouvelle vies la voiture s'arrête tu y sorte ta tante sons un mot te pose un baisser sur le frond et s'en va tu entent la voiture qui démarre tu et la au grand gris de ta nouvelle vies.....

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